LOL: Qui rit, sort ! saison 5 - 18 avril
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Kill Your Friends BR [Blu-Ray]

4,0 sur 5 étoiles 158 évaluations

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8 avril 2016
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Genre Thriller
Format Blu-ray
Contributeur Tom Riley, James Corden, Craig Roberts, Joseph Mawle, Rosanna Arquette, Owen Harris, Ed Skrein, Nicholas Hoult, Georgia King Voir plus
Langue Français, Anglais
Durée d’exécution 1 heure et 43 minutes
Couleur Couleur
Nombre de disques 1
Fabricant Seven7

Description du produit

Kill Your Friends BR [Blu-Ray]

Détails sur le produit

  • Rapport de forme ‏ : ‎ 1.85:1
  • Dimensions du colis ‏ : ‎ 17,2 x 14,2 x 1,2 cm; 10 grammes
  • Réalisateur ‏ : ‎ Owen Harris
  • Format ‏ : ‎ Blu-ray
  • Durée ‏ : ‎ 1 heure et 43 minutes
  • Date de sortie ‏ : ‎ 8 avril 2016
  • Acteurs ‏ : ‎ Nicholas Hoult, James Corden, Joseph Mawle, Ed Skrein, Rosanna Arquette
  • Doublé : ‏ : ‎ Français, Anglais
  • Sous-titres : ‏ : ‎ Français
  • Langue ‏ : ‎ Français (DTS-HD 5.1), Anglais (DTS-HD 5.1)
  • Studio  ‏ : ‎ Seven7
  • ASIN ‏ : ‎ B01ATXAHNC
  • Nombre de disques ‏ : ‎ 1
  • Commentaires client :
    4,0 sur 5 étoiles 158 évaluations

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4 étoiles sur 5
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Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 17 février 2021
    tout a fait conforme
  • Avis laissé en France le 10 février 2020
    Parfait. Objet conforme à la description. Délais respectés... Parfait.
  • Avis laissé en France le 20 février 2017
    bien aimé ce film assez trash question son bonne qualité l'image est bonne mais pas exceptionnelle on y vois un léger grain donc une étoile en moins de plus aucun bonus c'est dommage !
    par contre format plein écran et ça c'est cool !
  • Avis laissé en France le 29 avril 2016
    Désolé, mais je reste sur ma faim avec ce film...le personnage principal manque sacrement de charisme. (sans parler du scénario)
    On est très très loin d'un Dexter ou même d'un José Garcia dans Le Couperet.
    Je n'ai pas non plus trouvé mon compte dans la BO.
    3 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 16 février 2016
    Excellent, le film souffre simplement de la comparaison avec des films qui ont plus d'envergure et de souffle comme "Le Loup de Wall Street" (n'est pas Scorsese et Dicaprio qui veut), mais on s'entend bien, il reste un très bon film qui est plus que convainquant et réussit sans aucun doute bien mieux que tout ce qui peut-être proposé dans ce genre depuis pas mal de temps, mais qui n'atteint pas le niveau du chef d'œuvre.
    Une personne a trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 11 avril 2016
    Dans l'esprit "American psycho" version brit microcosme musical cynique et déjanté à souhait, ce film est un régal. Immoral et politiquement incorrect ce film ravira les amateurs du genre : un très bon moment !
    Une nouvelle fois, merci au Brits pour ces films déjantés !
    2 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 23 mars 2016
    Employé dans la direction artistique d’une maison de disques anglaise de la grande époque « britpop » des années 90, Steven Stelfox n’ai ni foi, ni loi, ni respect, ni illusion, ni remord, ni honneur. Il serait prêt à tout et n’importe quoi, humilier, flatter, coucher, manipuler, et même tuer, pour un « hit » qui lui apporterait pouvoir et pognon. S’adressant directement au spectateur, le plus souvent en voix-off, il va nous embarquer dans sa vie le temps d’une saison. Heureusement, le film ne se limitera pas à la seule description d’un milieu aussi fermé que complètement taré (cela expliquant peut-être ceci), et contient une véritable intrigue où le personnage va sentir se refermer sur lui le piège de ses nombreux méfaits et erreurs. En fait, la vraie question est de savoir s’il va pouvoir s’en sortir malgré tout et si d’ailleurs on le lui souhaite vraiment. Car si Stelfox est un antihéros parfaitement odieux, il est aussi de ceux que l’on adore haïr, tant la sincérité de son cynisme a quelque chose de drôle et même de presque sympathique. Dans notre esprit de spectateur s’affrontent le petit ange qui aimerait beaucoup voire la morale triompher et le petit démon qui rirait volontiers de voir l’affreux s’en sortir. Avec un personnage principal aussi délicieusement détestable, il n’y a pas trente-six mille fins possibles. Soit celle-ci se veut éthique mais triste et passe par la punition de l’anti-héros, soit elle assume le cynisme jusqu’au bout et permet au personnage de l’emporter grâce à son immoralité poussée à l’extrême. Kill your friends ne fait pas exception et adopte bien l’une de ces deux voies (je vous laisse le plaisir de découvrir laquelle).

    Revenons à la description vache du secteur du disque et du mépris de cette dernière pour les artistes comme pour les auditeurs. Selon Stelfox, la seule référence du milieu est financière : c’est au nombre de CD vendus (rappel : on est dans les années 90, avant l’explosion du mp3) et aux passages à la radio que se mesure la valeur d’un groupe. L’art se mesure à l’aune du succès, point barre. Pourtant, le scenario, avec le personnage de Parker-Hall, apporte une alternative : celle d’un manager réellement attaché aux disques, à la musique, aux artistes, et qui se révèle bon chef d’équipe par-dessus le marché. Tout ne serait finalement pas aussi cyniquement immoral que veut bien le décrire Stelfox. On comprend donc que Kill your friends relève moins de la peinture réaliste que de la satire, mais qu’il a aussi l’honnêteté de se présenter comme telle et de ne pas complètement généraliser son propos. L’auteur du roman à l’origine du film est lui-même passé par ce milieu et a évidemment réglé ses comptes, mais reconnaît donc que tous les acteurs de ce milieux ne sont peut-être pas aussi détestables que Stelfox. D’ailleurs, si le plan final lui-même tendrait à dire que si (en concernant un autre personnage que Stelfox), cette conclusion en forme de pirouette s’avère finalement facile et assez peu crédible quand on réfléchit 30 secondes, car rien n’annonçait vraiment une telle évolution chez le personnage secondaire concerné.

    Pour traiter son sujet, la mise en scène n’a pu s’empêcher d’être flashy et un peu racoleuse, mais pouvait-il en être autrement ? Comment faire toucher du doigt au spectateur les excès de Stelfox et de l’industrie musicale sans un mauvais goût assumé ? Cela dit, on notera les efforts du réalisateur pour éviter d’en rajouter gratuitement dans les deux scènes violentes du film. Pour son premier long métrage, Owen Harris, venu de la télévision avec notamment Misfits, aurait pu facilement déraper mais le résultat est au contraire tout à fait réussi. Il nous offre un joyeux croisement de Swimming with sharks (pour l’envers d’un milieu artistique), d’Orange mécanique (pour l’approche cynique et auto-commentée), et d’American psycho (en moins serial killer, cependant). Ici, pas de perte de l’innocence : Stelfox nous fait bien comprendre dès les premiers plans où nous mettons les pieds.

    Nicholas Hoult avait déjà porté plusieurs films sur ses épaules, que ce soient l’excellent Warm bodies ou Jack le chasseur de géants, en plus de divers seconds rôles marquants et réussis : Hank dans les derniers X-Men, Nux dans le récent Mad Max, Flem dans Young ones. Le voilà à nouveau en tête d’affiche, et il crève l’écran. Certes, ce n’est pas vraiment une surprise, mais il faut admettre qu’on a énormément de plaisir à retrouver le cynisme et le sourire carnassier qui nous avaient marqués dans la première saison de Skins. Notons au passage que cette série trash utilisait le même procédé d’exprimer à voix hautes les pensées des personnages et Hoult y tenait un rôle de premier plan. En fait, Stelfox pourrait presque être l’évolution adulte de Tony Stonem. Le film repose quasi-intégralement sur l’interprétation de l’acteur, qui semble tellement s’amuser qu’il communique sans effort son plaisir au spectateur. Par ailleurs, le réalisateur n’a pas négligé une galerie de seconds rôles adéquatement choisis, parmi lesquels on remarquera Craig Roberts, déjà vu dans Submarine en 2010, et surtout Georgia King, une actrice à suivre qui a une présence étonnante à l’écran et ne se laisse pas supplanter facilement par Hoult.

    Kill your friends est donc une amusante satire de l’industrie musicale, en forme de caricature assez trash, et très bien servie par ses acteurs, en particulier sa tête d’affiche Nicholas Hoult qui confirme tout le bien qu’on pensait déjà de lui depuis longtemps. Sans être un chef-d’œuvre inoubliable, son côté déjanté lui donne une saveur certaine dont on aurait tort de se priver.
    5 personnes ont trouvé cela utile
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Meilleurs commentaires provenant d’autres pays

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  • Ruben Caroli
    5,0 sur 5 étoiles Comico ma realistico
    Avis laissé en Italie le 5 avril 2023
    Se volete farvi un'idea di come funzionino le etichette discografiche, o almeno quelle più grosse, questo film mi sembra che faccia capire un sacco di cose in modo divertente
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  • AZINDN
    5,0 sur 5 étoiles KILLED IT.
    Avis laissé aux États-Unis le 2 mai 2016
    Love British black humour or find something else to watch. This is blackest, sly, and so very not pc that it is wonderful. Nicholas Hoult is no longer that cute little boy from the movie with HG. He's grown a hunky sex body and is picking films to get away from the boy next door (Skins), and into the male leading man category. Kill Your Friends moves him up that ladder and then some but the film has its flaws. Stellfox is shallow and ambitious in his role as A & R manager for a troubled British recording company, and he's not about to be penalized for his mistakes in music taste or judgements. Breaking the fourth wall, audiences are given his motivation and maliciousness in a gleeful narration that bares industry attitudes toward the production of milquetoast musical arrangements geared toward the mindless messes. Stylish and greedy, Stellfox's moves to advancement are not for the squeamish, but in Hoult's presentation, they are delightful to watch. Like a lot. Hysterical for the bent in us all.
  • Asther
    5,0 sur 5 étoiles Excellent
    Avis laissé au Canada le 11 avril 2020
    Je pourrais regarder ce film des milliers de fois. Nicholas Hoult dans ce rôle est sublime !
  • Orphan Murphy
    5,0 sur 5 étoiles Well made.
    Avis laissé au Royaume-Uni le 23 février 2024
    If you enjoy the classic British debauchery on screen such as Trainspotting, Twin Town, some of Guy Ritchie's movies, you'll dig this. Ashamed to say I have not read the book but I must. I got through the first chapter before losing the book to water damage and it was really good. I would say that the entire cast did a brilliant job even those who only had the smaller roles. Great cast in fact. Ed Skrein is brilliant and if you like him, Ill Manors is one to watch, written and directed by the annoyingly talented Ben Drew, aka Plan B.
  • CATSS
    5,0 sur 5 étoiles Kill Your Friends Blu-ray
    Avis laissé au Canada le 3 juin 2020
    The was a great movie!
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